Test clavier mécanique gamer Ozone Strike


 

Pour commencer, le Strike ne propose pas de Macros donc il ne nécessite pas de pilotes. On branche les différentes connectiques et c’est tout! Pour rappel, la fonction Anti-ghosting est disponible via l’adaptateur USB>PS/2 alors, pensez à vous en servir pour éviter de vous retrouver « coincé » en appuyant sur trop de touches simultanément.

Puis le bruit! Etant habitué à un Logitech Illuminated, le changement est déroutant et il faut un petit temps d’adaptation pour s’habituer au bruit et à la mécanique qui demande une pression plus importante. Les switches Cherry Black vont vous demander un temps de rodage pour fournir, par la suite, plus de souplesse. Pour en revenir au bruit, on trouvait le STRIKE assez bruyant et c’est bien avant de recevoir le Q-Pad MK-80 qui le surpasse à ce niveau là. Le STRIKE émet un son fort et « grave » qui n’est pas irritant à l’oreille contrairement au MK-80 qui émet un son sec et aigu qui vient maltraiter nos tympans. L’outil d’extraction permet de changer d’interchanger aisément les touches ZQSD aisément et vous facilitera la vie lors d’un décrassage en profondeur du clavier.

 

A l’usage, le STRIKE est agréable aussi bien en bureautique que dans les jeux pour lequel il est prévu. Nous l’avons torturé en mode bourrin sur BF3 mais le STRIKE n’a rien voulu savoir, il a fait son job remarquablement. Les touches, aux marquages « fun » mais très lisibles, remontent en deux temps trois mouvements permettant ainsi de ne pas rater ses objectifs par des répétions de frappes consécutives. Les prises USB et  audios sont sont les bienvenus et vous faciliterons la vie si vous utilisez souvent des clés USB ou autres périphériques du genre. Tout ceci est bien beau mais il faut quand même lui trouver des inconvénients! Le seul vrai regret est l’absence de rétro-éclairage tellement pratique lors de battle nocture. Le gros cordon assez rigide pourra également être une gêne pour certains mais on a rien sans rien!